6 commentaires

  1. Cet article est très intéressant, et me conforte dans ma façon d’appréhender mes 2 perroquets. Je travaille, mais avec des horaires variables. Donc s’il fait beau, ils sont dehors dans leurs volières respectives, et je les rentre dans mon bureau, les laissant la cage ouverte. Martha, pionus senilis vient sur moi, joue avec mes crayons, avec moi, vole partout, et, quad elle en a assez, rentre d’elle même dans sa cage… Diégo le gabonais est plus « dépendant », il ne joue pas beaucoup et préfère être près de moi, voire sur mon épaule ou son perchoir juste à côté. Ils sortent donc chaque jour, mais jamais à heure fixe, c’est un peu en fonction de mes activités, mais ils ne sont jamais laissés pour compte, ils ont leur place dans ma vie personnelle, comme toute personne vivant sous mon toit. Je trouve particulièrement triste de voir tous ces oiseaux à vendre avec la même raison »plus le temps de m’en occuper »… Il faut bien réfléchir avant, et ne pas céder au caprice, car ça me fait penser à ces gens qui achètent chien ou chat pour l’abandonner sur la route des vacances dans le premier refuge venu. Un oiseau demande 365 jours d’attention, et pendant des années…

  2. Plus que la dépendance de l’oiseau c’était moi qui en était dépendant .
    Je viens de perdre ma perruque ondulée . Il allait avoir neuf ans le mois prochain .
    Et maintenant je suis perdu .
    On m’a dit d’en prendre un autre pour tenir compagnie à ma callopsite qui est toujours la. Mais rien qu’à l’idée de la remplacer me dégoute . Pour moi c’est de les considérer comme des objet qu’on remplace .

    Voilà j’était vraiment dépendant de cette oiseau .

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